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Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

18 novembre, 2008

Le capitalisme, un bouc émissaire commode

Depuis l’éclatement de la crise financière le capitalisme a été accusé et condamné sans autre forme de procès. C’est une pratique bien connu. Quand ça va mal il faut trouver rapidement un bouc émissaire. Cela permet de canaliser la colère populaire, mais surtout de détourner l’attention des vrais coupables : les politiciens et les agences de surveillance des marchés.

Le capitalisme est un système économique et social défini par la propriété privée des moyens de production. Celle-ci implique le droit de disposer librement des biens en question et des fruits de leur utilisation, donc de les échanger librement.

Les prix sont déterminés par les actions volontaires et consentantes de tous les acteurs du marché. C’est le seul moyen connu d’établir le « juste prix » d’un produit ou service. C’est ce mécanisme de détermination du « juste prix » qui permet d’autoréguler le système et d’éviter les dérapages généralisés.

Malheureusement, les politiciens ne peuvent s’empêcher d’intervenir et de pervertir les principes du capitalisme à des fins partisanes. Ces interventions faussent le processus de détermination des prix et tout le système dérape comme cela c’est produit dans le cas des bulles technologique et immobilière.

Heureusement, malgré les embûches et les contraintes imposées par les politiciens, le système capitaliste demeure d’une efficacité redoutable. Lorsque les abus deviennent intolérables il pique une bonne crise comme pour dire : ça va faire, foutez-moi la paix!

La vidéo qui suit est une apologie du capitaliste bien mérité par les temps qui courent. Croyez-vous vraiment que ces prouesses auraient été possibles dans l’ex-URSS, à Cuba ou en Corée du Nord?


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